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Brésil, Identités

Musée de Lodève
Jusqu’au 21 avril 2024

Le Musée de Lodève présente cet automne une collection exceptionnelle d’art brésilien du XXe siècle très rarement exposée en Occident.
Mettant de côté les formes d’art héritées du colonialisme, la collection montre les multiples facettes de l’identité du Brésil et une diversité époustouflante des formes d’expression.
Panorama de toute la variété d’un art libre et inventif, une quarantaine d’artistes brésiliens du XXe siècle sont présentés dans cette exposition.
Découvrir cette peinture libre de toute influence occidentale est un voyage passionnant qui mène aux racines de l’identité brésilienne.
L’exposition montre comment ces peintres, profondément ancrés dans leur territoire, n’en convoquent pas moins d’autres mondes, d’autres espaces.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
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Travailler en temps de guerre : 14-18/39-45

Archives nationales du monde du travail, Roubaix
Jusqu’au 4 mai 2024

Les Archives nationales du monde du travail présentent l’exposition « Travailler en temps de guerre : 14-18/39-45 » du 26 mai 2023 au 4 mai 2024 à Roubaix. Pour la première fois, une exposition s’intéresse au thème du travail en France sur les périodes de la Première et de la Seconde Guerre mondiale.

Révéler une histoire inédite du travail en temps de guerre
Nombreuses sont les archives d’entreprises témoignant des activités liées à la collaboration économique sous l’Occupation allemande dans les fonds des Archives nationales du monde du travail (ANMT). C’est en partant de ce constat que l’institution a souhaité s’interroger sur les profondes mutations du travail pendant les périodes de guerre. La réflexion s’est élargie aux deux guerres mondiales en France car elles sont majoritairement représentées dans les fonds des ANMT. Les archives de l’époque nous amènent à nous interroger sur l’importance des témoignages personnels et collectifs laissés par des générations ayant vécu ces évènements, alors qu’elles disparaissent peu à peu. Aujourd’hui même, en divers lieux du globe, des hommes et des femmes travaillent en temps de guerre.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
T @VanessaRavenaux

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Discrete Series. Pierrette Bloch, l’amie peintre

Musée Soulages, Rodez : jusqu’au 19 mai 2024

Pierrette Bloch était une proche du couple Soulages. Pierre Soulages, qui la rencontra en 1949 dans son atelier de la rue Schoelcher, à Paris, l’a dépeinte en 2018 comme « l’amie de toute une vie ». Ce témoignage de fidélité est la raison pour laquelle cette exposition, loin d’être une rétrospective – celle-ci se tiendra au printemps 2025 au musée d’art moderne et contemporain de Saint-Étienne -, prend place dans le cadre des célébrations du Dixième anniversaire du musée Soulages, Rodez se déroulant en 2024.

Les oeuvres de Pierre Soulages léguées par Pierrette Bloch au Centre Pompidou – musée national d’art moderne sont présentées à cette occasion. Ces oeuvres des années 1950, peintures sur toile ou sur papier, sont restées accrochées dans son salon parisien pendant près de soixante-dix ans, manifestant avec constance la proximité amicale des deux artistes.

Discrete Series est un titre emprunté au poète objectiviste américain George Oppen que l’artiste plasticienne appréciait particulièrement. Ce titre, qui date de 1934, fait référence à une série mathématique aux termes « chacun empiriquement dérivé, chacun empiriquement vrai. » Empirisme, travail sériel, discrétion à tous les sens du terme, tous ces points résonnent avec l’oeuvre et la personnalité de Pierrette Bloch. La cinquantaine de pièces exposées, issues du musée de Grenoble, du musée Fabre de Montpellier, du Fonds de Dotation Pierrette Bloch et de collections particulières, témoigneront de cette production sérielle, autour de sept ensembles caractéristiques de l’artiste : I- Collages bleus de 1971. II- Lignes d’encre de 1995. III- Dessins saturés de 1997. IV- Fil de crin des années 1980. V- Pages d’écriture de 1986. VI- Dessins à gros points de 1996. VII- Ensemble de papiers asiatiques de 2006.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Jeux de Guerre : Jouer avec l’Histoire

Mémorial’14-18, Notre-Dame-de-Lorette
Jusqu’au 19 mai 2024

Dans les allées du Centre d’Histoire du Mémorial’14-18 Notre-Dame-de-Lorette, une porte s’ouvre sur un monde virtuel, où les souvenirs de la Première Guerre mondiale prennent vie dans des jeux vidéo. À partir du 12 octobre 2023, l’exposition Jeux de Guerre montre à ses visiteurs comment les développeurs de jeux vidéo jouent avec l’Histoire de la Grande Guerre.
Dans un parcours scénographique inspiré des salles de jeux d’arcade, l’exposition interroge la place de la Grande Guerre dans les jeux de guerre. Elle présente aux visiteurs les logiques à l’oeuvre dans la production d’un jeu vidéo sur la Première Guerre mondiale, notamment dans la représentation des soldats, de la mort, des armes et de la violence. À travers l’exemple de quatre jeux sur la thématique de ce conflit, les visiteurs, à la lumière d’objets contemporains et d’entretiens avec des historiens et des développeurs, découvrent l’approche des jeux vidéo entre vraisemblance historique et interprétations soumises au divertissement.
Au coeur de cette exploration, une question essentielle : dans un univers où la vraisemblance historique se mêle aux impératifs de l’expérience de jeu, quelles-sont les réelles vertus pédagogiques de ces jeux ? Lorsqu’on joue à l’un de ces jeux vidéo de guerre, peut-on considérer qu’on se met dans la peau d’un soldat de 14-18 ?

À VOUS DE JOUER !
Jeux de guerre – Jouer avec l’Histoire est aussi l’exposition dont vous êtes le joueur principal ! Une salle dédiée vous propose de tester une dizaine de jeux vidéo, dont quatre qui sont présentés dans l’exposition : la série Soldats Inconnus (Ubisoft), Battlefield 1 (Dice et Electronic Arts), Verdun 1914-1918 (BlackMill Games) et Toy Soldiers (Signal Studios).
L’occasion de mettre en pratique le propos de l’exposition à travers des scénarios, des expériences de jeu et des graphismes différents !

Exposition proposée par le Mémorial’14-18 Notre-Dame-de-Lorette, l’Établissement de Communication et de Production Audiovisuelle de la Défense et le Musée Guerre et Paix
Avec la contribution des studios : Electronic Arts, Dice, Ubisoft et BlackMill Games

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Anna Boch, un voyage impressionniste

Musée de Pont-Aven : jusqu’au 26 mai 2024

Le Musée de Pont-Aven, en partenariat avec le Mu.ZEE d’Ostende (Belgique) rend hommage à Anna Boch (Saint-Vaast, Belgique, 1848 – Ixelles, Belgique, 1936), 175 ans après sa naissance.
L’exposition dresse le portrait multiple d’une artiste, mélomane, collectionneuse, mécène, voyageuse et passionnée d’architecture à la personnalité dynamique et avide de découvertes. Elle était la femme artiste la plus en vue de Belgique. Anna Boch a en effet mené une vie très indépendante, un choix rendu possible grâce à ses origines sociales et à la bienveillance familiale. Seule femme à avoir adhéré aux cercles artistiques Les XX et La Libre Esthétique, animés par son cousin Octave Maus, elle s’y est positionnée – fait rare pour l’époque – d’égale à égale avec ses confrères. Ensemble, ils se lancent dans l’aventure du néo-impressionnisme, alors incarné par Théo van Rysselberghe, Paul Signac et Georges Seurat. Ses tableaux lumineux illustrent sa recherche du trait et de la couleur. Sa passion de la nature l’a emmenée dans des coins reculés, rêvant de vivre dans une cabane, pour capter la beauté des paysages bucoliques. Amoureuse de la mer, elle a saisi la lumière et les reflets des côtes, notamment bretonnes, pour les transposer dans des compositions audacieuses. Anna Boch prend résolument toute sa place dans le post-impressionnisme des 19e et 20e siècles.
Le commissariat scientifique a été confié à Virginie Devillez, historienne de l’art avec l’active participation du Dr Stefan Huygbaert, conservateur au Mu.ZEE et de Sophie Kervran, directrice du Musée de Pont-Aven.
Plus de deux ans de recherches préliminaires ont été nécessaires pour réaliser cette exposition.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
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Allez, Roubaix jeunesse !

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 26 mai 2024

Depuis plusieurs années, notamment grâce au soutien des Amis du musée, d’artistes ou de collectionneurs, La Piscine s’est attachée à faire entrer dans ses collections des oeuvres d’artistes vivants liés, à un moment ou à un autre, à la scène artistique roubaisienne ou à la ville tout simplement.
Cet accrochage, forcément hétéroclite, fait un point sur ces enrichissements liés au territoire d’un musée qui tient beaucoup à ces regards de proximité et de connivence. Il intègre différents modes de création et d’expression et prend naturellement place dans les espaces identitaires de La Piscine,
son entrée historique, à proximité immédiate des collections du Groupe de Roubaix qu’il prolonge en quelque sorte comme un autre avatar de la ville industrielle aux mille facettes.
Inscrit dans le printemps des collections qui signe la programmation du début de l’année 2024, Allez, Roubaix jeunesse ! est à la fois le témoignage d’une veille forcément incomplète sur l’actualité créative de la cité et un appel à venir présenter les parcours oubliés au musée : chacun(e) son tour !

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Compagnons d’une vie : une donation à La Piscine

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 26 mai 2024

Suite à une donation qui fera date dans son histoire, La Piscine expose une remarquable collection particulière, élaborée au fil d’un demi-siècle de recherches et d’amitiés.
Les oeuvres qui la composent dévoilent le cheminement sensible par lequel les goûts, les intérêts intellectuels, les rêveries des collectionneurs en sont venus à former un ensemble harmonieux et singulier. Principalement consacrée aux dix-neuvième et vingtième siècles, la donation s’articule autour d’ensembles d’oeuvres de Victor Hugo, Cocteau, Desnoyer, Lapicque, Vieira Da Silva, Arikha ou encore Dezeuze. S’y ajoutent des créations de Vuillard, Sima, Valentine et Jean Hugo, Dali, Bérard, Szenes, Hajdu, Gilioli, Zao Wou-Ki, Alechinsky, Sarthou, Magdeleine Vessereau, Olivier Debré, Bruce Naumann… – pour ne citer que quelques-uns des artistes représentés.
De l’embrasement romantique à l’ascèse de Supports/Surfaces en passant par la palette radieuse d’un Desnoyer, c’est à une traversée de deux siècles de création artistique que convie Compagnons d’une vie : une donation à La Piscine.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Jan et Joël Martel, Le monument à Debussy

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 26 mai 2024

Durant le printemps 2024, La Piscine s’associe à la Villa Cavrois pour rendre hommage aux sculpteurs Jan et Joël Martel (1896-1966) qui furent très proches de l’architecte Robert Mallet-Stevens et qui participèrent au chantier de la grande demeure moderniste élevée à Croix, dans l’immédiate banlieue de Roubaix, pour un grand patron du textile local.
Inauguré en 1932, ce palais moderne est le strict contemporain de la piscine de Roubaix et de l’installation, à Paris, d’un Monument à Claude Debussy auquel travaillaient les jumeaux de la sculpture depuis la disparition du compositeur. D’abord prévu pour Saint-Germain-en-Laye, ville natale du musicien, cet hommage fut finalement installé boulevard Lannes, à Paris, près de l’emblématique rue Mallet-Stevens où les Martel avaient leur atelier et leurs appartements, également construits sur les plans de l’architecte. Des premières idées de 1919 jusqu’à l’aspect définitif de 1932, le monument évolue d’une complexe construction encore d’esprit très symboliste vers une expression manifeste du classicisme art-déco.
L’ensemble des sculptures et dessins relatifs à ce projet que conserve La Piscine permet de raconter ce chemin complexe et d’évoquer les aléas chaotiques qui sont le fait de nombreuses histoires de monuments publics de cette génération.
L’exposition dossier prévue par le musée met en valeur un fonds Martel très précieux dans la collection de sculpture moderne du musée. Quelques oeuvres en mains privées, empruntées pour l’occasion, complèteront utilement cette présentation patrimoniale.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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À l’invitation de La Petite Châtelaine : les enfants impressionnistes du musée d’Orsay

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 26 mai 2024

À l’occasion du cent cinquantième anniversaire de l’Impressionnisme, le musée d’Orsay a proposé à plusieurs musées en région, de prêter des oeuvres emblématiques de sa prestigieuse collection pour créer une chaîne d’évènements et pour dialoguer avec les fonds des institutions intéressées par cette proposition.
Saisissant cette généreuse opportunité, La Piscine a émis l’idée de demander à sa « Joconde », La Petite Châtelaine de Camille Claudel, de convier quelques enfants impressionnistes des collections nationales. Trois tableaux, de Degas, Renoir et Pissarro, et une sculpture de Degas seront donc, durant trois mois, les invités de marque du marbre élaboré par Claudel dans l’esprit de l’Impressionnisme, au début des années 1890. Ce rendez-vous sera présenté dans la salle actuellement consacrée au thème de l’enfance au coeur du parcours permanent et dont l’accrochage sera profondément modifié pour permettre de vrais dialogues entre les oeuvres et les protagonistes.

Exposition présentée dans le cadre des 150 ans de l’impressionnisme avec le musée d’Orsay

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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Pascal Barbe. La Fissure – Le Passage (1992-1995) : une donation

La Piscine, Roubaix : jusqu’au 26 mai 2024

Pascal Barbe (né en 1957 à Bruay-en-Artois) est un PPP, peintre-poète-penseur, qui, depuis les années 1970, construit un oeuvre fort et engagé. Son oeuvre pictural s’apparente souvent à l’expressionnisme contemporain, proche de ses sources allemandes ou d’échos flamands : une peinture à l’écoute du monde. Il expose notamment à la galerie Gondrom, Bayreuth, Allemagne en 1980, au musée de Poznań, Pologne en 1987, à la galerie Richard Demarco, Edimbourg, Écosse en 1991, au Carrousel du Louvre, Paris en 1997 (La Terre s’évapore) et en 2015 au Kunstmuseum de Thun, Suisse.
Dans son enfance marquée par une relation fusionnelle avec son grand-père, le futur artiste est fasciné par le jeu des ombres chinoises qui, dès 1974, investissent son travail sous la forme qu’il nomme ses « bonhommes ». À l’encre ou à l’huile, à plat ou en volume, ces personnages allumettes, qui fêtent leurs 50 ans en 2024, font intimement et durablement partie des univers de Pascal Barbe et s’affirment comme une expression graphique iconique de son message créatif, politique et humaniste. En 2000, ils prennent vie dans un film d’animation, La pomme et le papillon.
Après avoir « tatoué » sur les murs du FRAC à Dunkerque ses petits bonhommes indélébiles, il les expose en 1992 dans une église du Tarn. L’architecte Jean-Claude Burdèse les remarque et propose à l’artiste d’élaborer ensemble le projet pour la station de métro Charles De Gaulle à Roubaix. Cette installation pérenne est assurément l’intervention artistique la plus convaincante du vaste chantier de la construction d’une nouvelle ligne souterraine qui, en 1999, modifie considérablement le rapport de la métropole nordiste à son versant industriel.
Mieux qu’un décor, ce projet s’impose comme une véritable oeuvre plastique structurant le site auquel il est destiné et, dans l’espace public, il offre généreusement aux passagers un peuple miroir évoquant poétiquement leurs silhouettes, leurs attitudes, leurs états d’âme…
En 2019, Pascal Barbe propose à La Piscine de lui offrir l’intégralité des 141 dessins originaux pour cette création et les poèmes qui les accompagnent. 25 ans après l’inauguration de la station, c’est l’esprit de ce superbe ensemble qui est aujourd’hui révélé à La Piscine dans une singulière exposition-rétrospective mettant également en avant les premières oeuvres de Pascal Barbe réalisées dans les années 70.
Cette exposition est dédiée à Silver Hesse et à la famille Hermann Hesse.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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T’ang Haywen, Un peintre chinois à Paris (1927-1991)

Musée national des arts asiatiques – Guimet : jusqu’au 17 juin 2024

Une exposition exceptionnelle qui dévoile l’immense talent d’un grand artiste chinois, contemporain de Zao Wou-ki.
Arrivé à Paris en 1948, officiellement pour y suivre des études de médecine, T’ang Haywen ne quittera plus la France. Il découvre un pays où la création est en pleine effervescence. Comme d’autres artistes étrangers, il s’y confronte à la modernité occidentale et, à l’image des premiers artistes chinois venus à Paris pour se former, dont Zao Wou-Ki (1920-2013) ou Chu Teh-Chun (1920-2014), il devient une des figures marquantes de ce foyer bouillonnant de vie artistique qu’est alors Montparnasse.
Artiste discret, T’ang Haywen s’affirme pourtant progressivement comme une figure majeure de la création contemporaine et de la modernité chinoise. Il expose de son vivant dans de nombreuses galeries d’art en France et à l’étranger, ainsi qu’au Centre Pompidou en 1989. Il bénéficie à partir de la fin des années 1990 d’une reconnaissance internationale.
À travers une sélection d’une centaine d’œuvres majeures, l’exposition présente un panorama des grandes étapes de sa carrière, ainsi que l’essentiel des facettes du travail d’un artiste qui recherchait, selon ses propres mots, « une peinture idéale, unissant le monde visible et le monde de la pensée ».

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30
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Le Printemps du dessin, 7e édition

Partout en France : jusqu’au 21 juin 2024

Crée en 2017, en parallèle de Drawing Now Art Fair , la première foire d’art contemporain exclusivement dédiée au dessin, le Printemps du dessin célèbre la diversité du dessin contemporain partout en France.

Du 20 mars au 21 juin, le Printemps du dessin rassemble les institutions culturelles, publiques et privées, ainsi que les centres d’art pour faire rayonner le dessin au niveau national. À travers des
expositions, des workshops, des ateliers, des conférences et des rencontres entre artistes et public, le médium du dessin se déploie sous toutes ses formes, offrant au public une immersion au plus près de la création artistique. C’est par ces rencontres privilégiées et ces moments de partage que les structures permettent à chacun de découvrir le dessin contemporain sous un angle nouveau.

Ce qui débuta avec une dizaine de participants, c’est aujourd’hui près de 70 structures qui oeuvrent pour faire du printemps une grande fête du dessin !

En cette année particulière, alors que la France se prépare à accueillir les Jeux Olympiques, nous avons choisi de placer le sport au coeur de la 7e édition du Printemps du dessin. L’art et le sport, deux disciplines qui nous rassemblent, nous inspirent et nous poussent à repousser nos limites, se rejoignent dans une exploration passionnante.
Alors, que vous soyez artistes ou sportifs, on se donne rendez-vous à partir du 20 mars 2024 pour une édition du Printemps du dessin aussi sportive qu’artistique.
À vos marques… Prêt ? Partez !

Attachée de presse : Aurélie Cadot
aureliecadot@observatoire.fr
+33 6 80 61 04 17
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Peindre la nature. Paysages impressionnistes du musée d’Orsay

MUba Eugène Leroy, Tourcoing : jusqu’au 24 juin 2024

Investis dans une dynamique politique de démocratisation culturelle, le MUba Eugène Leroy de Tourcoing et le musée d’Orsay s’associent pour imaginer une ambitieuse exposition sur le thème du paysage impressionniste, du 16 mars au 24 juin 2024.

Pour la première fois, 58 chefs-d’œuvre des collections nationales signés Monet, Sisley, Renoir, Pissarro, Cézanne, Caillebotte, Signac, Gauguin ou Bonnard, seront prêtés à une exposition en région, faisant de cette manifestation l’évènement majeur des « 150 ans de l’impressionnisme ».

Comment est né le paysage impressionniste ? Quels est la spécificité du regard posé par Monet et ses amis sur les paysages de leur époque ? Comment ces peintures traduisent les mutations du rapport des hommes et des femmes à leur environnement au XIXe siècle et comment entrent-elles en résonance avec nos préoccupations actuelles ? De quelle manière le paysage impressionniste a-t-il ouvert la voie à d’autres audaces picturales ? Pour répondre à ces questions, le parcours est organisé en cinq sections.

Exposition présentée dans le cadre des 150 ans de l’impressionnisme avec le musée d’Orsay

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
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Sacrilège ! L’État, les religions et le sacré

Archives nationales, Hôtel de Soubise, Paris : jusqu’au 1er juillet 2024

Pourquoi les rois de France poursuivaient-ils le blasphème au même titre que le crime de lèse-majesté ? Comment l’État, monarchique ou républicain, compose-t-il avec le pouvoir religieux ? Même laïc, l’État peut-il se passer de toute forme de sacré ? Autant de questions au coeur de l’exposition « Sacrilège ! L’État, les religions et le sacré », présentée par les Archives nationales du 20 mars au 1er juillet 2024 à l’Hôtel de Soubise.
Dans une ambiance solennelle – qui n’est pas sans rappeler celle d’un lieu de culte ! –, plus d’une centaine d’oeuvres et de documents d’archives inédits illustrent l’histoire du sacrilège. De Socrate (399 av. J.-C.) au chevalier de La Barre (1766), de l’attentat de Damiens contre Louis XV (1757) à l’affaire du « Casse-toi, pov’ con ! », les commissaires de l’exposition ont eu à coeur de rendre au sacrilège et au blasphème leur dimension politique.
Pédagogique, l’exposition raconte ainsi l’histoire des rapports que le pouvoir entretient – non sans ambiguïté – avec les religions. Les visiteurs pourront ainsi se plonger dans la lente montée en puissance (à partir du XIIe siècle) et le déclin d’une « religion royale », ébranlée par la Réforme protestante et les guerres de Religion (1562-1598), éradiquée par la Révolution, mais à laquelle la République a longtemps cherché un substitut. République elle-même mise sous pression par le récent retour en force du fait religieux. Par un subtil jeu de miroirs, l’exposition bouscule les frontières entre le spirituel et le temporel, le religieux et le laïc, le sacré et le profane.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94
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Constant Pape (1865-1920), la banlieue post-impressionniste

Musée Français de la Carte à Jouer, Issy-les-Moulineaux : jusqu’au 13 juillet 2024

Le Musée Français de la Carte à Jouer organise avec le Musée d’art et d’histoire de Meudon une exposition de l’artiste Constant Pape. Cet important paysagiste francilien, inspiré par l’École de Barbizon et les Impressionnistes, a consacré sa vie aux paysages alto-séquanais au tournant du siècle, livrant une image fidèle de la banlieue entre sous-bois, paysages de carrières et fêtes champêtres.
L’exposition a été rendue possible par une campagne de restauration d’envergure des oeuvres de l’artiste conservées dans plusieurs musées et mairies d’Ile-de-France, menée par le Musée Français de la Carte à Jouer.

Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
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Soldats sportifs, pratiques sportives dans l’armée française de 1914 à nos jours

Musée de la Grande Guerre, Meaux
Jusqu’au 19 août 2024

Une exposition de photographies qui plonge les visiteurs dans l’univers des sports de 1914 à nos jours
En partenariat avec l’ECPAD (Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense)

La rentrée 2023 propose une toute nouvelle exposition sur les pratiques sportives pendant la Grande Guerre et post Grande Guerre, faisant écho à la coupe du monde de rugby et aux JO 2024 !
La pratique sportive a joué un rôle indéniable dans la préparation du soldat, mais elle représentait aussi un moyen de découverte, d’évasion et de cohésion durant la Première Guerre mondiale.
Cette série de photographies située sur le parvis du musée, illustre les exercices physiques du monde combattant de la Grande Guerre, à nos jours. À travers cette exposition en accès libre, les visiteurs en apprendront davantage sur l’évolution et l’impact des sports durant la Première Guerre mondiale et plus largement, au sein de l’armée et la société de l’époque.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
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Léonard de Vinci, à la croisée des arts et des sciences

Forum des Sciences, Villeneuve d’Ascq
Jusqu’au 25 août 2024

Peintre, dessinateur, ingénieur et architecte, Léonard de Vinci se place à la croisée des arts et des techniques par la diversité et la pluridisciplinarité de l’ensemble son œuvre. Ses travaux nous ont fourni un héritage intellectuel et culturel qui nous fascine encore aujourd’hui.
L’exposition « Léonard de Vinci, à la croisée des arts et des sciences » propose un parcours immersif de découverte de son univers grâce à des reproductions d’une partie de ses peintures, dessins, croquis… Des reconstitutions 3D des fameuses « machines » qu’il a imaginées montrent comment Léonard de Vinci s’inspirait des savoirs artistiques et techniques de son époque pour ses travaux.

En parcourant l’exposition, vous découvrirez ses différentes champs d’activités et sa préoccupation de représenter le plus fidèlement plus le monde qui l’entourait. L’exposition se présente sous forme d’un circuit de découverte de l’univers de Léonard de Vinci : Léonard de Vinci, peintre ; Leonard de Vinci, architecte et urbaniste ; Leonard de Vinci, ingénieur civil et militaire ; Leonard de Vinci, l’art du vol ; Leonard de Vinci et l’anatomie ; L’héritage de Léonard de Vinci.
Durant votre visite, vous découvrirez comment Léonard de Vinci, par sa vision humaniste, incarne l’esprit de son époque, la Renaissance, prémices de l’histoire moderne.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
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À nos amours

Musée des Confluences, Lyon
Jusqu’au 25 août 2024

Exposition conçue et réalisée par le Palais de la découverte, adaptée par le musée des Confluences
L’amour, sujet qui nous concerne tous, semble insaisissable, tour à tour fragile, passionnel, déconcertant ou moteur puissant de nombreuses histoires. À nos amours propose une exploration des territoires amoureux, en constantes transformations, traversés et bouleversés par les évolutions sociétales et technologiques.
Adapté de l’exposition De l’amour, présentée par le Palais de la découverte à Paris en 2019-2020, le projet du musée des Confluences fait découvrir ou redécouvrir l’universalité de l’amour et la diversité des attachements amoureux, familiaux et amicaux.
Cette multiplicité des attachements est soulignée par les quatre mots grecs exprimant l’amour et introduisant l’exposition : éros, le désir, la passion charnelle ; storgê, l’amour familial ; agapè, l’amour désintéressé ; philia, l’amitié, le lien social.
Dans une scénographie nouvelle, pensée comme une expérience sensorielle et émotionnelle, À nos amours fait dialoguer les points de vue scientifique, sociétal et artistique, à la rencontre des cultures humaines du monde entier et des autres espèces vivantes.
L’exposition présente quelque 200 objets, provenant en majorité des collections du musée des Confluences, mais aussi des prêts illustrant des pratiques et des traditions populaires.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
vanessaleroy@observatoire.fr
+33 7 68 83 67 73
T @VanessaLeroyObs
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L’Atelier Rodin

Musée Rodin, Paris : jusqu’au 1er septembre 2024

Jouez, créez, bougez !
Place à l’action ! Dédié à la découverte et la compréhension de la sculpture par la pratique, l’Atelier Rodin est rempli de nouveautés pour s’amuser et apprendre au musée. À l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, cette troisième édition invite petits et grands au mouvement et au jeu avec un espace inédit pour Vivre la sculpture de tout son corps.
Jouer, découvrir et apprendre. Plongez dans l’univers d’Auguste Rodin et d’un atelier de sculpteur. Dessiner, modeler, bouquiner, jouer ou bouger… Chacun des cinq espaces est riche en activités et découvertes pour favoriser une exploration sensible et intuitive.
A vos marques, prêt… « En mouvement ! » est un tout nouvel espace pour appréhender les défifis du sculpteur. Entre torsion et équilibre, utilisez votre corps pour comprendre comment l’immobile peut évoquer le mouvement.
L’Atelier Rodin 2024 est labellisé Olympiade Culturelle.

Attachée de presse : Viviane Joessel
viviane@observatoire.fr
+33 7 66 42 12 30
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La loi sur l’IVG. 1974 – Le discours de Simone Veil

Archives nationales, Paris : jusqu’au 2 septembre 2024

À l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, les Archives nationales inaugurent le second rendez-vous de leur cycle Les Remarquables et présentent le célèbre discours de Simone Veil défendant à la tribune de l’Assemblée nationale, en 1974, le projet de loi sur l’interruption volontaire de grossesse (IVG). C’est le public qui, au moment même où le président de la République a souhaité constitutionnaliser la liberté des femmes de recourir à l’IVG, a plébiscité ce document à l’issue d’un vote organisé à l’été 2023.
L’exposition, gratuite et au format volontairement resserré, invite le visiteur à découvrir le manuscrit original du discours et sa version dactylographiée, annotée de la main de Simone Veil. À travers ces deux ensembles de feuillets et les documents qui les accompagnent, c’est un moment décisif du combat pour la conquête des droits des femmes que les visiteurs peuvent (re)découvrir.

Attachée de presse : Kassandre Fradelin
kassandre@observatoire.fr
+33 7 66 54 16 73
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Le monde fabuleux de Nicolas Eekman

Musée de Flandre, Cassel : jusqu’au 8 septembre 2024

Au printemps prochain, le musée de Flandre organisera une rétrospective consacrée au peintre Nicolas Eekman (1889-1973). L’exposition proposera au public de découvrir plus de quatre-vingts oeuvres de cet artiste injustement oublié par le XXe siècle.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
+33 7 82 46 31 19
T @VanessaRavenaux

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Maison et Jardins de Claude Monet à Giverny

Ouverture jusqu’au 1er novembre 2024

« Du haut d’un pont garni de glycines, qui se trouve être de style japonais, Monet vient juger le tableau qu’il a créé. » Gustave Geffroy, Monet, sa vie, son œuvre, 1924
En cette année des 150 ans de l’impressionnisme, de nombreux événements culturels célébreront, la naissance de mouvement pictural révolutionnaire. Mais quelle meilleure manière de s’imprégner de la culture impressionniste que d’arpenter l’écrin givernois, palette grandeur nature et intarissable source d’inspiration pour le maître des lieux ?
Inversant la démarche traditionnelle du peintre paysagiste, Claude Monet a façonné son motif avant de le peindre avec acharnement. À tel point que son bassin aux nymphéas, qu’il commence à représenter en 1899 sous la caresse d’une lumière perpétuellement changeante, deviendra vers 1910 son thème d’inspiration exclusif et son testament pictural, Les Grandes Décorations de Nymphéas, exposées au musée de l’Orangerie à Paris.

Attachée de presse : Margot Spanneut
margot@observatoire.fr
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Biennale d’Aix, 2ème édition

Aix-en-Provence : du 6 avril au 29 juin et du 21 septembre au 14 décembre 2024

Forte du succès de la première édition, la Biennale d’Aix organisée par la ville d’Aix-en-Provence, se déploie à travers une programmation ambitieuse sur l’ensemble de son territoire.

L’identité de la Biennale réside dans une programmation pluridisciplinaire venant révéler l’exceptionnel patrimoine de la ville.
C’est avec une grande jubilation que les artistes invités déploient leurs oeuvres ou leurs spectacles dans des lieux aussi divers que la bibliothèque patrimoniale Michel Vovelle, les Carrières de Bibémus, les parcs Jourdan ou Saint Mitre, la chapelle des andrettes ou le couvent des prêcheurs, la fondation Vasarely, l’hôtel de Chateaurenard, le domaine Saint-Joseph, sans oublier les musées Granet ou le Mac Arteum, musée d’art contemporain…
Plus de 100 artistes se produisent sur 150 événements dans 40 lieux différents : expositions, installations, résidences artistiques, spectacles, concerts…
Parmi les temps forts : la plasticienne de renommée internationale Chiharu Shiota s’empare de trois lieux patrimoniaux d’Aix-en-Provence : le musée du Pavillon de Vendôme, le Musée des Tapisseries et la Chapelle de la Visitation à travers des installations poétiques inédites.
Le 2ème temps de la Biennale se tiendra du 21 septembre au 14 décembre, intégrant notamment le lancement de la 4ème édition de Chroniques, La Biennale des imaginaires Numériques.
Le Liban pays invité
C’est l’effervescence artistique libanaise qui sera mise en lumière tout en célébrant deux décennies de coopération décentralisée entre les villes de Baalbeck et d’Aix-en-Provence.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Combattre loin de chez soi. L’empire colonial français dans la Grande Guerre

Musée de la Grande Guerre, Meaux : jusqu’au 30 décembre 2024

Cette exposition du musée de la Grande Guerre s’attache à expliquer la portée et les particularités de la participation de l’Empire colonial français au premier conflit mondial dans les multiples registres de l’engagement, des conséquences et des héritages. Elle entend faire connaitre et comprendre le rôle des hommes de l’Empire engagés dans la guerre en mettant en avant une histoire partagée.
L’exposition permettra de livrer à tous les publics des clés de compréhension de l’histoire et des mémoires des anciennes colonies et territoires français. En effet, cette histoire entre la France et son Empire est à la fois ancienne et éminemment contemporaine dans le contexte particulièrement sensible de l’écriture de l’histoire coloniale.
L’exposition « Combattre loin de chez soi, l’Empire colonial dans la Grande Guerre » que présente le musée de la Grande Guerre adopte une position mesurée, rigoureuse qui s’inscrit dans la continuité de sa collection permanente, bâtie sur les aspects sociétaux et militaires de la Grande Guerre.
Dans une approche pluridisciplinaire, l’exposition donne à comprendre les enjeux des récits historiques à travers la présentation de figures, de données scientifiques, d’oeuvres, de documents et d’objets issus des collections du musée ou de celles de partenaires institutionnels.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
vanessa@observatoire.fr
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CHEMINS DU PATRIMOINE EN FINISTÈRE : Le Domaine de Trévarez

À la découverte des trésors patrimoniaux du Finistère. Le Domaine de Trévarez : un patrimoine Belle Époque

Au coeur d’un parc de 85 hectares aux nombreuses distinctions, le château de Trévarez est un site incontournable du centre Finistère, labellisé « Patrimoine du XXe siècle ». L’histoire du Domaine est marquée par l’empreinte d’un homme, James de Kerjégu, un politicien qui entreprend en 1893 la construction d’une résidence prestigieuse, à la pointe de la modernité, dans le contexte trépidant de la Belle Époque. Le site accueille tout au long de l’année des expositions et des temps forts autour de ses collections botaniques.

Les saisons botaniques de Trévarez : d’avril à juillet 2024

Trévarez, un jardin remarquable, des collections d’exception.
Créé à la fin du 19e siècle, le parc de Trévarez a évolué au fil des décennies , progressivement restauré, réhabilité, des collections botaniques y sont installées, développées et sont aujourd’hui reconnues nationalement et internationalement.
Ces trois collections végétales majeures – d’octobre à mai les camélias (800 variétés), du 20 avril au 12 mai 2024 les rhododendrons (600 variétés), du 6 au 28 juillet 2024 les hortensias (120 variétés) – sont valorisées lors des saisons botaniques (ateliers, visites, troc de plantes…).

Roland Cognet, après la tempête
Regard d’artiste : du 27 avril au 6 octobre 2024

Roland Cognet entame dès le début des années 1980 une réflexion sur les matières et les formes dans la droite ligne des artistes de la sculpture concrète française et américaine. Il poursuit depuis son travail de confrontation entre nature et sculpture en restant fidèle aux matériaux bruts. Roland Cognet exerce son art en combinant tous les moyens à la disposition d’un sculpteur : taille directe, modelage, moulage, assemblage… De même, il ne souhaite se priver d’aucune matière, et si le bois
prédomine, il lui associe d’autres matériaux : résine, acier, bronze, ciment…
À Trévarez, Roland Cognet crée plusieurs sculptures à partir d’arbres remarquables trouvés dans le domaine : un chêne, un pin de Monterey, un séquoiadendron. En s’inspirant de leurs histoires singulières, il conçoit des installations qu’il expose dans le parc, sous la verrière des écuries et devant la façade sud du château. D’autres sculptures complètent le parcours à l’intérieur du château.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
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CHEMINS DU PATRIMOINE EN FINISTÈRE : L’Abbaye de Daoulas

À la découverte des trésors patrimoniaux du Finistère. L’Abbaye de Daoulas : une abbaye citadine tournée vers l’ailleurs

L’Abbaye de Daoulas concentre en un lieu plusieurs centres d’intérêt : on y apprécie la qualité des jardins des plantes et arbres médicinaux du monde entier (labélisés jardin remarquable), on y découvre la richesse de la diversité culturelle au travers de grandes expositions qui invitent à la découverte de l’Autre. Avec en moyenne 45 000 visiteurs, l’Abbaye de Daoulas propose chaque année, des expositions photographiques dans ses jardins, de grandes expositions de renommées nationales ainsi qu’un programme d’activité en lien avec les richesses de son site.

Les Balades photographiques de Daoulas : jusqu’au 1er décembre 2024

Depuis 10 ans, l’Abbaye et la ville de Daoulas proposent un parcours photographique en plein air en lien avec son exposition annuelle. Pour cette l’édition, les jardins remarquables de l’Abbaye accueilleront une exposition inédite de Françoise Huguier sur le Japon. Dans la ville, c’est le photographe Hans Silvester qui présentera de nouvelles photos sur le pays du soleil levant.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
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CHEMINS DU PATRIMOINE EN FINISTÈRE : Le Château de Kerjean

À la découverte des trésors patrimoniaux du Finistère. Le Château de Kerjean : joyau de la Renaissance bretonne

En plein âge d’or de la Bretagne à la fin du 16e siècle, la famille Barbier édifie un château qui surpasse les plus belles demeures de la région. Bijou d’architecture Renaissance entouré d’une exceptionnelle enceinte fortifiée pour le protéger, le Château de Kerjean et son parc arboré présentent de multiples facettes : escape game, visites, murder party, évènements musicaux, marché de créateurs, promenades…

Un été à Kerjean : du 6 juillet au 14 septembre 2024

Durant l’été 2024, un tout nouveau spectacle nocturne, numérique, immersif et innovant sera présenté au Château de Kerjean. Inspiré par l’histoire du château, ses habitants d’hier et d’aujourd’hui, son architecture, son parc, la flore ou bien la faune qui l’occupent, ce spectacle se vivra comme une immersion expérientielle esthétique et onirique.

Attachée de presse : Aurélie Cadot
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Le Parc Zoologique de Paris

Saison 2024

Pour les 10 ans de la réouverture du Parc zoologique de Paris, la thématique de saison « 10 projets de recherche et conservation » se décline dans toute l’offre : événements, médiation et informations sur le parcours. À partir du 31 mars et pour toute la saison, les actions de conservation seront valorisées le long du parcours : par des panneaux dédiés aux 10 projets, par une exposition dans le petit Chalet et le kiosque pédagogique dédié.

Weekend anniversaire : les 12, 13 et 14 avril 2024
L’accès au Parc sera gratuit pour les moins de 13 ans pendant les 3 jours (réservation recommandée).

Les visites guidées :
Pendant les vacances scolaires de la zone C, les mercredis, samedis et dimanches, à 10h30, sur la thématique de la conservation. Durée 1h30, 5 euros.

Les dimanches au zoo :
Pour les bébés (1 – 3 ans) : « 1, 2, 3 Croque Moi » les 7 avril, 2 juin, 1er septembre, 3 novembre.
Pour les bébés (18 mois – 3 ans) : « Attrape-moi si tu peux » les 5 mai, 7 juillet, 6 octobre.
Pour les enfants (3 – 6 ans) : les 12 mai, 9 juin, 14 juillet, 8 septembre et 13 octobre.
En famille : les 21 avril, 19 mai, 16 juin, 7 juillet, 25 août, 15 septembre, 20 octobre.
Balade dessinée avec l’illustratrice miss Prickly, autrice de la BD Animal Jack.

Attachée de presse : Vanessa Leroy
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TROP-PLEIN

MusVerre, Sars-Poteries : jusqu’au 5 janvier 2025

Sur toute l’année 2024, cette exposition plurielle, réinterprétation d’un thème plus que jamais d’actualité, offre au public l’opportunité d’explorer les facettes de la société de surconsommation à travers plusieurs thématiques : le rapport à l’argent, qui conditionne tous les excès ; le gaspillage alimentaire et l’obsolescence programmée, qui engendrent chaque année des tonnes de déchets mettant en péril l’équilibre écologique planétaire ; enfin, les nouvelles perceptions et les codes inédits d’une société qui définit des normes difficilement atteignables. Entre images familières, symbolisme, références culturelles et historiques et oeuvres « à charge », les pièces de verre exposées viennent souligner avec justesse les excès contemporains.

Attachée de presse : Vanessa Ravenaux
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En forêt avec Vincent Munier

Musée des Confluences, Lyon : jusqu’au 13 avril 2025

Les espaces forestiers sont le décor d’une vie foisonnante.
Photographe des grands espaces sauvages, Vincent Munier parcourt les forêts françaises, en particulier celles des Vosges, depuis son enfance. Avec le musée des Confluences, il propose un voyage visuel et sonore dans une nature en apparence familière mais souvent méconnue. Les images, fixes et animées, révèlent la faune qui peuple les forêts en invitant chacun à apprendre à observer, comme à l’affût, pour mieux s’émerveiller de cet univers grandiose et menacé.

Attachée de presse : Camille Faivre
camille@observatoire.fr
+33 7 82 28 80 94
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